mardi 4 février 2014

Remarque approndie sur l'Histoire comparée aujourd'hui

"Anachronisme !" ou "Absurde !" sont des réponses que de nos jours,  on déclare facilement à des intellectuels présentant une étude d'histoire comparée. Il faut avouer que ce sont plutôt les historiens universitaires, au sens strict du terme, qui se montent si méfiants; les spécialistes des relations internationales, les politologues ou les géographes ne réagissant pas de la même manière.
   Pourtant, tout le monde sait qu'il y a forcément des différences entre deux objets qui sont comparés. Il ne faudrait pas "grossir" ou "exagérer" celles-ci au point négliger les similitudes entre eux deux. Ainsi, des historiens font remarquer que le régime de Mussolini n'était pas un régime totalitaire, que toute comparaison entre les régimes autoritaires portugais (Salazar) espagnol (Franco), italien (Mussolini) et grec (Colonels) entre 1920 et 1970 est à la fois vaine et dangereuse.
   De ce fait, le problème de base est simple selon moi, la seule question à se poser est : "Entre mes différents objets d'étude, y a -t-il plus de points communs ou plus de différences ?".

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