mercredi 19 mars 2014

Que penser du "Soft Power" ? [schéma de synthèse]

 
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Je me suis intéressé récemment au concept de "soft power" (voir mon post précédent sur les principales soft power dans le monde). En y réfléchissant de plus près, j'ai trouvé des limites ou des inconvénients de cette notion, voire des imprécisions. Tout est ici dans ce schéma; n'hésitez pas à consulter le website de l'Iris, dans les "sources".
   A noter que l'on parle aussi de Smart Power (source : CSIS américain), à savoir le pouvoir combinant Soft et Hard power. Or, le meilleur exemple historique que nous avons est sans doute celui de Rome. Effectivement, la ville éternelle a su combiner des capacités militaires puissantes (légions, marine de guerre, armes de siège, ...) avec une culture urbaine et citoyenne attrayante, ce qui a entrainé la fameuse "Romanisation". Le Soft Power n'est donc pas une invention du XXe siècle, d'autant plus que déjà au XIXe siècle, la Grande-Bretagne séduisait par sa réussite économique, sa littérature, ses expositions universelles présentant des produits industriels, scientifiques et coloniaux.
   Des auteurs se concentrent sur l'idée que le soft power consiste à intégrer des états dans des structures collectives plus ou moins contraignantes, au nom d'intérêts communs. Cette vision est juste, c'est de la "puissance tranquille", mais elle est restrictive.


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